• Ayant juste découvert l'identité caché,de l'homme inconnu de la salle des archives.
    sachant que la police scientifique,et que de même les policiers de la ville,ne risquent pas de le croire,il se faire prendre pour un idiot.
    le rôle de l'idiot,semblait intéressant,car personne ne prêtait d'attention au imbéciles.
    occupé par les réflexions,le scientifique se mit à chercher dans les archives,soudain
    un bruit étrange s'activa,il vient de découvrir un mécanisme !.
    c'était une étagère de livres rangé,qui vient de s'ouvrir,comme une porte.
    étonné Aïlvs,décida d'aller voir plus prêt.
    en approchant de l'ouverture de deux étagères,l'une de livres,le second étagère étaient vide.
    au centre,une statue représentant un homme vivant,une statue à gauche,représentait,l'homme en cadavre,tel qu'il serait une fois mort.
    approchant d'une des statues,le scientifique vit un porte au loin,au centre,il en approcha.
    - tiens,l'accès est codé,je n'ai que trois chances.
    au même moment,le mort-vivant,revient à lui,se mit à geindre furieusement.
    - on m'a pris du sang ! ma tête,me fait très mal !
    - Ho merde ! tout mais pas vous !
    - Qu'ai-je encore fait ? pour qu'on me détesté à ce point ?
    - tu m'as attaqué ! sale charogne !
    - Oui,je suis mort,je le confirme.
    ce dernier se leva,se nettoya les vêtements,puis se précipita vers le scientifique occupé.
    - facile,les vivants croient que c'est difficile,laissez-moi faire.
    - d'accord..j'ignorais que tu ne voulais ...m'aider ?
    - tout les humains ont peur,de la mort,encore plus des cadavres-vivants.
    -...ha bon,vraiment ?
    - ?!,faire l'idiot ne te va pas vraiment ! ajouta le mort-vivant.
    - je te l'accorde,j'ai voulus te jouer,mais je ne suis pas doué.
    le mort-vivant,avait repris sa forme de vivant,il vit le système,et se mit à pianoté sur les nombres.
    après qu'il eut finis,un bruit confirma que la porte "secrète" s'ouvrit dans un silence totale.
    - c'était ça ? 6642,comment le saviez-vous ?
    - il manque à 0 et 9 à ton résulta,si je le sais,car c'est moi,qui à crée ce passage secret,j'en suis l'auteur.
    le cadavre-vivant passa devant,en tête,derrière le scientifique lui emboîta le pas.
    en pénétrant une grande pièce,le scientifique fut pris d'un véritable vertige,des murs
    étaient décoré de pierres blanches,certains gravures étaient dorés à l'or fin,des étagères spécialisés.
    - tu cherche quoi ? fit-il le scientifique.
    - la même chose,que les policiers,un des nôtres était tué,on traque un traître,du côté des humains,j'ai trouvé son corps,la tête avait disparu.
    - les humains ne peuvent pas faire alliance avec des zombies.
    - c'est beaucoup trop vieux jeu à mon goût,pourtant,vous et moi,nous sommes dans le même camps,il y a des choses au quel vous,les vivants vous ignoraient.
    - c'est-à-dire ?
    le cadavre réanimé sortis un livre,et fouilla au fond,il sortis un rouleau de parchemin,et l'ouvrit. il finis par le passé à l'homme,qui accepta de le lire.

     en lisant,le scientifique découvre avec stupeur,la grande ville était construire sur des ruines anciennes,d'une ville morte,dans la quel un grand nombre de tombes étaient laissés à l'abandon.
    Veïldh,la métropole si moderne,aurait donc participé à la destruction d'un peuple entier ?
    où s'agit-il d'un coïncidence ? où d'une preuve ? qu'un passé obscure,et sanglant,se caché derrière l'apparente beauté de la ville.
    souvent,la beauté d'un lieu,où d'environnement cache,un secret des plus inavouables.
    en clair,les zombies doivent descendent des anciens habitants où peut-être sont-ils des survivants pacifiques ?
    le scientifique admit être complètement perdu,le mort-vivant ajouta en affirmant
    - le mot approprié,serait égaré,quant à la situation présente.
    - la situation présente ?
    - vous habitez à quel endroit dans la grande ville ?
    - ici,pourquoi ?
    - c'est là où sont enterré,les plus anciennes tombes de l'ancienne ville,guidez les archéologues ici,en creusant,ils trouverons des squelettes.
    - et ensuite ?
    - les policiers,parlons d'eux,l'un d'entre eux,était un mort-vivant,il joue un humain,c'est de tes partenaires,dans la police.
    - la police scientifique ?
    - Oui,je parle bien d'eux,je me méfierais de cet homme,le sceptique,je l'ai sentis,il n'est pas nette
    - donne moi,une bonne raison,pour te faire confiance ? et pour je ne tue pas ?
    - seul,tu as besoin d'aides,cette ville grouille de victimes,du passé,beaucoup de cadavres retourné à la vie,sont en colère,ils sont plein de haine,ils ne veulent qu'une chose,c'est vous éliminez tous,,afin de reprendre leur ville,le problème qu'il ignore,les vivants n'y sont pour rien,ce sont des croyants,qui les ont zombifiés.
    - des chrétiens ? il y en a ville
    - non,je ne parle pas d'eux,mais de magie noir,je dois impérativement vous protégez,les morts-vivants veulent la guerre,moi,j'ai étais chassé de ma famille.
    une société secrète obscure à détruit les habitants lors de l'affrontement,entre les vivants et les non vivants.
    - précise.
    le mort-vivant détecta une caméra vidéo
    - imbéciles de vivants ! protesta-t-il,en voyant un policier devant l'entré de la porte,os entré dans le passage secret.
    - Qu'es-qui se passe ici ? pour infos,Aïvls,ils t'attendent.
    - vous ne pouvez pas attendre 10 minutes,que je trouve ce que je cherche.
    - ha hé bien,d'accord,mais faites vite,on recherche le cadavre de la victime partout en ville.
    sans raison apparente,le zombie s'était caché volontairement,derrière une étagère pleine,le policier repartit,et quitta la pièce secrète.
    - j'ai eu chaud,un peu plus,et j'ai cru,que le traître,me tomberait dessus.

     


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  • - Qui êtes-vous ? demande-t-il.
    -  je ne parle pas à des étrangers,répondis la voix.
    - je ne suis pas un étranger,je suis un scientifique,je me présente,je m'appelle Aïlveld,mais tu peux m'appelé Ailvs.
    le scientifique alluma la lumière,il vit avec surprise,que de dégoût,c'était un homme,il ressemblait à une personne vivante.
    sa peau était extra-ordinairement clair,un blanc tirant sur le gris,ses yeux avait la même couleur,que le scientifique,il avait les yeux gris,presque blanc.
    - je n'arrête pas de penser à manger,ça me dépasse.
    - es-ce que je dois te vous-vovoyez où vous tutoyer ?
    - quoi ? ce je ne comprends pas votre charabia.
    - qu'appelez-vous du "charabia" ?
    - vous parlez pas comme nous,ma famille de véritables ancêtres,des véritables.
    - ça ne réponds pas à ma question,et deux,tu évite ma question,en répondant par une autre réponse.
    - je ne me sens pas bien.
    Aïlveld décida de repartir,quand l'homme se précipita et bloqua la porte pour l'empêcher de sortir.
    - je suis désolé,de t'avoir mentis,sur moi,en particulier,je ne suis plus une personne vivante.
    - dans ce cas prouvez-le moi
    - vous êtes sûr ? ne pas avoir le coeur trop fragile ?
    - pourquoi ça ?
    - le meilleur chez les vivants,c'est plus que le coeur,c'est votre âme,sa présence me fait tourné la tête.
    - c'est-à-dire ?
    au même moment,le mort-vivant pris sa forme de nature véritable,et fondis sur le scientifique,celui-ci pris un objet et l'asséna sur le charogne pestilenciel qui perdis conscience subitement.
    en l'observant au plus prêt,le scientifique s'écria
    - mon dieu ! un zombie ! personne ne croira jamais en ça !
    perplexe,et préocupé,comment le prouvé au scientifiques,que les "soi-disant tueurs ne sont plus des humains,mais bien de cadavres mangeurs d'hommes",au faites,ça mange quoi en vrai,un zombie ?
    plongé dans la réflexion,celui-ci préleva du sang au cadavre réanimé inconscient,il referma les fioles,et envisagea de les tester.


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  • En arrivant dans la forêt noire de Vielkarok,deux scientifiques étaient arrivé.
    des voitures de polices,une brigade policière,ainsi que l'aide de maîtres-chiens,permis d'inspecté la scène de crime.
    un des policiers découvre un morceau de vêtement sur la barrière renforcé,dans les ronces,il découvre ce qu'il est peut-être un tissus organique,malodorant.
    - j'ignore ce qui arrive à ça,mais,c'est à se vomir dessus ! fit-il lâchant le tissus organique empestant,il se mit à vomir peu de temps après.
    deux policiers accourent vers lui
    - es-ce que ça va ?
    le médecin-légiste récupéra le tissus organique,le retourna,en affirmant
    - petite coquine,je vous ai tombé dessus,j'aime ces petites bestioles.
    au dégoût général,le médecin-légiste sortis des larves,même au stade avancé,il retira du sol,les insectes qu'il collecta.
    - on fait faire une comparaison,avec ce morceau de peau,et celui du cadavre.
    - bonne idée.
    la police scientifique eut finis son inspection,le médecin-légiste fit amené le cadavre en direction de la morgue.
    alors qu'il examiné le corps de la victime,l'homme se retourna l'espace d'un instant,un violent coup porté l'assomma,avant de voir l'obscurité de l'inconscience,le scientifique eut le temps de voir,les yeux rouges ,la mâchoire qui faisait un mouvement nette,un claquement fut entendu.
    un cris de douleur retentit,un policier vit l'assistant du médecin-légiste accourir vers lui,en courant jusqu'à perdre haleine.
    - Qu'es-qui vous arrive ?
    - le cadavre ! le cadavre !
    - Quoi ? le cadavre ?
    - ce n'est pas un cadavre.. ! il est vivant !
    - un survivant !
    - non,pire que ça,chef
    - c'est-à-dire ?
    - UN MORT-VIVANT !  hurla-t-il reprenant sa course.
    le policier méfiant,approcha de la morgue,il sortis son arme,le chargea et s'aventura dans la morgue.
    il savait que les morts-vivants étaient des créatures n'existant que dans l'imaginerie collective,pour lui,c'est un vivant,un homme ordinaire vraiment malade où tout simplement cinglé.
    en approchant,il vit l'armoir à cadavres ouverts,un cadavre a servis de repas de viande,du sang avait coulé jusqu'à l'évier.
    le policier retrouva le médecin-légiste inconscient,émergeant,il revenait à lui.
    - Qu'es-qui c'est passé ?
    - le cadavre s'est volatisé,je n'ai rien pu faire.
    le policier vit que le corps avait disparu,mais il vit une blessure sur la gorge,c'était une morsure humaine,mais la dentition permit de voir un nombre de détail sur les dents.
    - vous aviez étais mordu !
    - réchauffe-moi,si te plaît,j'ai eu si peur,j'ai eu tellement froid.
    le policier mis son arme à terre,il se mit enlancé son collègue,quand soudain,l'homme eut les yeux qui vira au rouges,il se mit à mordre la gorge de son collègue.
    - Aïe ! non ! on ne mords pas ! les gens !
    c'est à ce moment là,qu'un policier vit avec surprise,le médecin-légiste se tournait vers lui
    - un infecté ! il ne faut pas le tuer !
    trop tard,une balle vient de partir,la balle en plomb frôla un collègue,se heurta à un poteau,puis visa l'infecté

    ,pile dans la tête,sa tête explosa,beaucoup de sang en jaillit.
    le cadavre s'embrassa aussitôt et disparaît.
    - qu'es-que c'était que ça ?
    - c'était un vampire,un homme qui allait devenir un vampire.
    - j'avais parlé de morts-vivants,jamais de vampires.
    - tu parlais de quel morts-vivants ?
    - le pire de tout les morts-vivants,il est le messager de la mort,un soir,ils reviendrons,sortirons de leurs tombes,

    pour venir apporté la mort,et la maladie,chez les vivants,ça ne vous évoque rien.
    - encore un truc à résoudre,il y en marre ! je me barre !
    - on dit je m'en vais ! ça veut rien dire,ce que tu dis.

    le scientifique de l'équipe rejoint la salle de conversation,pour déjeuné,occupé à manger,il fit la rencontre d'un inconnu dans la salle des archives.


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  • le soleil leva sur la grande ville de Veïldh,une équipe de scientifiques discutaient au sujet de la virologie.
    en pleine discussion,une personne arriva,affirma,elle déposa un dossier.
    - vous souvenez des meurtres qui ne sont étaient clôturé,car on n'a jamais retrouvé leurs corps.
    - de quel meurtres ? quel cadavres ?
    - Professeur,Siltver,vous avez oublié on dirait,consultez le dossier.
    - ce matin,mon fils à m'a réveillé durant mon sommeil,il hurlait,quelque chose lui fait à peur,mais il n'a rien dit.
    - précise.
    - j'ai tenté à deux fois,il a refusé,mais la troisième fois,il accepté de me répondre,il a dit avoir vu le visage d'un mort par la fenêtre de sa chambre,forcément,j'éclate de rire,le rassure en lui affirmant que ce n'est que le coup d'un farceur intrépide.
    - un farceur,c'est l'explication trop courante,les habitants ne sont pas tous avares de farces et de mauvais coups.
    - ce n'est pas faux,autant ne pas mettre tout le monde dans le même panier.
    le scientifique qui s'intéressé au dossier,le pris et l'ouvrir.
    il émit un cris de surprisea,attirant sur lui l'attention de toute l'équipe.
    - le 17 mars en 1989,découverte de 2 cadavres,deux femmes agée respectivement de 14 ans à 17 ans. l'autopsie des cadavres étaient prévu à cette date,mais n'a pas était effectué,cause  "disparition des cadavres".
    - es-ce la première fois ?
    - non,ce n'est pas la première fois.
    la femme répondis à appel à son portable,elle discutait
    - vous avez trouvé un cadavre ?
    - dans la forêt noir,de Vielkarok,connu pour sa sale réputation.
    - je le sais,cette forêt à une sombre histoire,d'accord,je vous rejoinds sur place.
    - à tout de suite.

    la femme échangea quelques messages à l'équipe,les laissant étudier le dossier.
    les autres ne prirent pas au sérieux le dit-dossier,l'un d'entre-eux,observait et en lisant le contenu avec des textes écrits,il décida de prendre une à deux lettres du premier mot,de chaque zone intéressante,il les nota.
    cela lui pris environ une heure
    le premier mot en lettre enverlant,était inversé,il fallut remettrait à l'endroit.
    " que fait le mot de "virus" là dedans s'interrogea-t-il
    - virus informatique où virus biologique ? ajouta un second scientifique.
    - je dirais biologique.
    - un virus biologique ? vous êtes sûr ?
    - Oui,lisez les mots que j'ai réussi à collecté,et réunir.
    le second pris le papier,il vit écrit "en premier,le mot "virus",mais avec un "des",devant.
    à moins que l'auteur est voulu se moquer des scientifiques,les pensant incapable à résoudre une égmime,à moins,que celui-ci soit doué pour les résolutions.

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  • Dans un élevage de bergers allemands,un éleveur revenait d'une exposition canine.
    traversant la route de nuit.
    la pleine lune brillait de son éclat,la lumière était agréable,le vent frais soufflant légèrement,l'un des bergers allemands se mit à aboyer subitement.
    l'éleveur vit avec horreur,qu'il fonçait sur ce qu'il ressemblait fortement à un chien,trop tard ! la voiture n'eut pas assez de distance

    pour s'arrêter,la créature fut violemment heurté de plein fouet.
    l'éleveur outré,sortis de son véhicule,il se précipita vers la silhouette à terre.
    - mais,comment es-ce possible ? fit-il,en examinant le corps étendu.
    étonné,l'homme se leva,quand soudain,un grognement sourd retentit.
    les bergers allemands sortirent de la voiture,brisant les fenêtres,même les chiens de l'éleveur s'étaient groupés,et l'encerclèrent à présent.
    - Vous êtes des chiens ! pas des objets de guerre
    - ça c'est qu'on verra fit l'un d'eux,changeant de forme en trente seconde,il pris l'apparence d'un être de forme humaine.
    ne voyant pas bien à cause de l'obscurité,l'éleveur activa la lampe électrique,il poussa un cris de terreur,en découvrant le visage de celui qui était sur le point de l'agresser,

    il finis par s'enfuir au courant,les monstres étaient semblable à des bergers allemands,mais de véritable corps pourrissants !
    poursuivit par la meute," je t'aurais ! je vais l'avoir ! "
    - non ! je l'aurais avant toi !
    - ce que je veux ! c'est son âme moi !
    - non ! il faut le manger ! si tu veux avoir sa puissance !

    lors de la poursuite,l'éleveur put voir,que les créatures cadavériques redoutaient n'importent quelques lumières,en se réfugiant dans la lumière,d'une serre.
    - là où au moins,ils ne tenterons rien.
    profitant de boire de l'eau,l'éleveur réalisa,qu'il finis par perdre sa vigilance
    -  EXSTA SO VAY ! hurla une voix,un chien au corps grisâtre,son corps était dépourvu de fourrure,la gueule ensanglanté,hérissé de crocs prêt à saisir,les oreilles dressé,

    en observant l'animal,l'éleveur poussa un cris d'horreur
    - Leilana !  c'est tout même pas toi !
    les vitres furent brisés en quelques instants,la horde encerclèrent une nouvelle fois,l'éleveur affirma
    - Qui êtes-vous ?
    - on n'a pas le temps des présentations ! fit le meneur
    - pourtant,tu nous as élevez,quand nous étions des chiots,de ta race favoris,jusqu'à que ton élevage sombre dans l'abus de l'inceste éternel.
    - attendais,vous êtes...les morts de ... mon élevage .. ?
    - parfaitement,tu fais des progrès,je me souviens,quand on m'a piqué,et enterré !
    - tu nous as oublié,tu n'a rien fait surtout.
    - tu disais "protégé le berger allemand",en vérité,tu décimais ton élevage..
    - pardon ?

    les chiens-cadavres avancèrent,et fondirent sur l'éleveur..
    un hurlement de souffrance s'éleva dans le ciel,suivis d'un cris de mise à mort,signalant l'agonie lente,et douloureuse.
    des hurlements sournois accompagnés,ces cris de douleurs,et de mort.


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